Romains 7,8 sont deux des plus édifiants de la parole de Dieu et cela rend la Bible si fascinante. Le livre de Dieu est conçu pour durer toute la vie de chacun de nous. À mesure que nous lisons jour après jour, année après année, en comparant les Écritures avec les Écritures, la plénitude de leur message et de leur signification devient plus claire. Le chapitre 7 nous dit comment fonctionne l’esprit naturel. Paul a été confronté à une reconnaissance des moyens de ne pas respecter cette loi, par exemple il a écrit :
“Je n’aurais pas su ce que signifie convoiter si la loi n’avait pas dit : “Tu ne convoiteras pas (verset 7).
Mais la nature humaine est telle que des lois comme celle-ci incitent à reconnaître la convoitise!
L’idée de convoiter est aujourd’hui obsolète ; le but du marketing moderne est d’encourager les gens à convoiter. Paul inspire ses lecteurs à vivre si
“que nous pouvons porter du fruit pour God” (verset 4),
et au chapitre 8 Paul encourage les disciples du Christ à penser positivement, c’est-à-dire à penser spirituellement, et à ne pas laisser leur esprit s’attarder “sur la chair” pour
“ceux qui sont dans la chair ne peuvent plaire à God” (verset 8).
Lorsque nous commençons à développer un esprit spirituel, le résultat dit Paul, c’est que
“tous ceux qui sont dirigés par l’Esprit de Dieu sont des fils de Dieu. Car tu n’as pas reçu l’esprit d’esclavage pour retomber dans la peur, mais tu as reçu l’Esprit d’adoption comme fils, par qui nous crions : “Abba! Père!” (versets 14,15).
Les Psaumes sont d’une grande aide dans le développement de l’esprit spirituel.
À quel point notre Père céleste est-il réel et toujours présent dans nos vies? Paul dit aux Romains qu’ils sont devenus
“enfants de Dieu, et s’ils sont enfants, alors héritiers – héritiers de Dieu et confrères héritiers du Christ, à condition que nous souffrions avec lui afin d’être également glorifiés avec lui” (versets 16,17).
Paul fait alors valoir un point vraiment difficile en disant :
“Je considère que les souffrances de cette époque actuelle ne valent pas la peine d’être comparées à la gloire qui doit être révélée à us” (verset 18).
Il y a eu des moments où Paul
“gémit intérieurement alors que nous attendons avec impatience l’adoption en tant que fils, la rédemption de notre corps” (verset 23).
Le chapitre atteint son paroxysme lorsqu’il écrit :
“dans toutes ces choses, nous sommes plus que des conquérants à travers celui qui nous a aimés. Car je suis sûr que ni la mort, ni la vie…, ni rien d’autre dans toute la création, ne pourront nous séparer de l’amour de Dieu en Jésus-Christ notre Seigneur” (versets 37,39).
Puissions-nous tous être “plus que conquérants”.
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