Pourquoi les catholiques n’étaient-ils pas autorisés à communier pendant le service baptismal

Mai 9, 2024 par Marcus Ampe, publié dans ??? Questions posées, Christadelphe, Foi, Jésus-Christ - Fils de Dieu, Questions & Réponses

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Partager du pain et du vin uniquement pour les frères et sœurs baptisés

Après le service de baptême, j’ai reçu une question d’une jeune femme triste parce qu’elle et d’autres baptisés n’étaient pas autorisés à partager le pain et le vin.

Par ces autres baptisés, elle entendait les catholiques. J’ai essayé de lui faire comprendre qu’il y avait deux raisons principales.

Baptême infantile

Dans la foi catholique, la plupart sont baptisés bébés. Ce baptême des enfants est généralement administré dans les premiers jours ou semaines de la vie d’un enfant, en supposant que ce versement avec de l’eau, selon le Père de l’Église Augustin, laverait le Péché Originel. On suppose que, selon les enseignements de l’Église catholique romaine, les bébés peuvent être sécurisés de telle manière qu’ils mourraient prématurément qu’ils ne seraient pas condamnés à devoir brûler éternellement en enfer. Le baptême (des enfants) signifie (selon l’enseignement catholique) que l’on reçoit le salut et qu’on est incorporé à l’église.

Dans le passé, l’Église papale allait si loin qu’au moment de la persécution et de l’inquisition, il fallait choisir soit la mort, soit le baptême.

Cependant, lors du baptême des enfants, l’enfant n’a jamais fait le choix de Dieu lui-même, mais les parents ou d’autres ont fait ce choix pour l’enfant.

Cependant, il est important que chacun, lorsqu’il a atteint un âge de conscience, fasse un choix conscient de vouloir être un enfant de Dieu au nom de Jésus et d’aller dans cette direction de foi pour cela.

Baptême adulte

Plus tard dans la vie, une personne peut décider elle-même dans quelle direction elle souhaite aller.

Les premiers chrétiens étaient toujours au sujet d’un acte d’abandon à Dieu, qui ne pouvait être accompli qu’à un âge de raison. Les catholiques et les réformateurs avaient l’idée catastrophique de l’enfer dans la tête et voulaient en sauver l’enfant. Comme base du baptême des enfants, ils soulignent l’alliance et la promesse de Dieu.

Dans notre région, davantage d’anabaptistes et de baptistes ont également émergé à l’époque de la Réforme, prêchant un Dieu Unique et un baptême adulte. Le mouvement baptiste rejetait le baptême des enfants et prônait le baptême après avoir fait une confession de foi. Aux Pays-Bas, cette idée a été adoptée, entre autres, par Menno Simons, un ancien prêtre frison devenu mennonite.

Les baptistes préfèrent appeler leur cérémonie de baptême baptême de foi parce que les jeunes qui ne sont pas encore adultes, mais qui ont déjà un aperçu suffisant de la Vérité biblique, peuvent également être baptisés sur la base de leur foi. Les Frères en Christ ou les Christadelphes supposent également qu’une fois qu’une personne peut faire un choix conscient et prouver qu’elle a suffisamment d’informations sur la Parole et l’Enseignement de Dieu, elle peut s’abandonner à Dieu en se laissant immerger dans l’eau, comme un acte symbolique de purification ou de purification des péchés passés.

Participation à la mémoire de la Cène du Seigneur

Dans la plupart des églises de foi chrétienne, on ne peut communier que si l’on a reconnu et signé la confession de foi de cette communauté.

Dans les Églises orthodoxes orientales et l’Église catholique romaine, la Dernière Cène est commémorée dans l’Eucharistie, dont fait partie la Sainte Communion.

Dans le rite latin de l’Église catholique, seule l’hostie consacrée est décernée à la communion, boire au calice est généralement réservé au prêtre. Lors d’occasions spéciales, les croyants peuvent également communier sous deux formes (l’hôte et le vin du calice). L’idée ici est que l’on ne fasse plus qu’un avec Christ.

Parmi les Christadelphes, il y a aussi un souvenir avec un « repas sacrificiel » dans lequel le pain est cassé et celui-ci est distribué comme symbole du corps de Jésus à tous les croyants qui ont été baptisés selon les conditions bibliques, à savoir des immersions complètes avec un témoignage. de foi en un seul Dieu (Jéhovah) et en Son Sauveur envoyé, Jésus-Christ. Le vin symbolise alors le sang versé du Christ, qui peut être consommé par les croyants baptisés, en signe de pardon des péchés par le sang de Jésus.

Pourquoi une participation limitée seulement

Il peut être étrange pour les chrétiens des communautés religieuses trinitaires qu’ils ne soient pas autorisés à s’asseoir à la table sacrificielle dans les services des Christadelphes.

En effet, le Christ auquel croient les christadelphes est différent de celui auquel croient les chrétiens trinitaires, tels que les catholiques, les anglicans, les réformés, etc. Pour ceux qui croient en la Trinité, Jésus-Christ est Dieu qui est venu sur terre pour nous racheter.

Pour les Christadelphes et autres Vrais Chrétiens, tels que les Yeshuaistes (ou Jeshuaists) et les membres de La foi abrahamique, l’Église de Dieu, les Amis Nazaréens, les Témoins de Jéhovah, on ne peut être participant à la table que si l’on appartient à ceux qui font partie de l’accord approuvé par Dieu, ou ceux qui n’adorent que Jéhovah comme le Seul Vrai Dieu.

Il n’y a pas de juste milieu pour Dieu. Il n’accepte que le vrai culte.

Si vous aimez toujours rejoindre la table

Lors de la cérémonie de baptême, il a été remarqué que plusieurs participants étaient convaincus que Jésus était le fils de Dieu. Mais c’est déjà assez grave, ils étaient convaincus que leur Église catholique pensait de la même manière et ne considérait pas Jésus comme Dieu. Je les ai encouragés à poser des questions à ce sujet à leur pasteur ou à certains prêtres de cette église, afin qu’ils acquièrent une meilleure compréhension des enseignements de l’Église catholique.

S’ils sont vraiment convaincus que Jésus est le fils de Dieu et non un dieu fils, ils seraient heureux d’effacer s’ils sont dans la bonne communauté de foi et s’il ne vaut pas mieux aller dehors et vers Dieu, ne vaudrait-il pas mieux rejoindre une communauté ecclésiale qui adhère aux enseignements bibliques?

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Questions et réponses sur le baptême

Dans la communauté christadelphe, l’examen du baptême est une procédure de vérification pour les personnes qui ont exprimé le désir de se faire baptiser. En règle générale, deux ou plusieurs membres masculins mûrs de la congrégation locale (ecclesia) rencontrent le candidat et mènent un entretien pour déterminer s’il est prêt pour le baptême, sur la base des critères du motif, de la compréhension doctrinale et des normes morales.

Il existe une tradition chrétienne très répandue, passée et présente, d’instruction pré-baptismale (catéchèse). De plus, les christadelphes ne sont en aucun cas le seul groupe religieux qui mène des entretiens de baptême.

Ce qui rend la procédure pré-baptismale christadelphe unique, c’est l’examen des candidats sur un large éventail de sujets et l’idée que cela garantit la validité du baptême. Les christadelphes n’ont pas de procédure normalisée pour la conduite des examens ; Il existe différents ensembles de lignes directrices. Les directives les plus anciennes et les plus connues sont peut-être celles du Guide ecclésial, écrit par le pionnier christadelphes Robert Roberts. De nombreux programmes ou scénarios de questions d’entrevue ont été produits dans la communauté christadelphe.

« La connaissance de la Vérité est nécessaire pour rendre le baptême valide. »

Dans le langage christadelphe, « la Vérité » se réfère spécifiquement aux principes fondamentaux de l’Évangile (tels qu’ils sont énoncés dans le BASF), et donc « par opposition à [les croyances de] beaucoup d’autres chrétiens professants », à savoir ceux qui adorent la Trinité.

Le Guide ecclésial décrit trois conditions préalables pour que le baptême soit « valide et efficace » :

1) une disposition sérieuse à suivre Dieu et un repentir sincère pour les erreurs, les méfaits et l’ignorance du passé

2) une bonne connaissance de « la foi transmise aux saints une fois pour toutes » (Jude 3) en rapport avec l’âge et l’intelligence du candidat.

3) « les fruits se prêtent à la repentance », c’est-à-dire une indication claire que le candidat a l’intention de s’élever à la nouveauté de vie, une vie basée sur la vie et l’exemple du Seigneur Jésus-Christ.

Questions à considérer.

Qu’est-ce que le baptême ?
Le baptême implique l’immersion complète d’une personne dans l’eau. (Voir Matthieu 3 :13-17 ; Marc 1 :9-10 ; Jean 3 :23 ; Actes 8 :36-39).
Que signifie le baptême ?
Il nous rappelle que Jésus a été enseveli et ressuscité, et il nous montre ainsi que nous pouvons être sauvés par sa mort et sa résurrection. (Voir Romains 6 :3-4).Il nous rappelle que parce que nous sommes pécheurs, nous méritons de mourir (si nous étions gardés sous l’eau, nous mourrions certainement !). (Voir Romains 6 :5-7).

Il nous rappelle que parce que Dieu est miséricordieux, il veut nous sauver de la mort par la résurrection. Le baptême est donc une sorte de « mort » – un « ensevelissement » dans l’eau – et une sorte de « résurrection ». C’est une parabole jouée. (Voir Colossiens 2 :12-13).

Il nous rappelle que, tout comme l’eau lave la saleté, Dieu enlève les péchés de ceux qui Lui obéissent. Lorsque nous sommes baptisés, Dieu nous pardonne tous les péchés que nous avons commis. C’est ainsi que nous prenons un nouveau départ en tant que disciples de Jésus-Christ. (Voir 1 Pierre 3 :21 ; Actes 22 :16).

C’est le signe par lequel nous devenons enfants de Dieu et membres de la postérité d’Abraham en Jésus-Christ par l’alliance éternelle. (Voir Galates 3 :26-29).
Devons-nous être baptisés ?
Le Seigneur Jésus a été baptisé. Paul a été baptisé. Les convertis de l’Église primitive étaient baptisés, comme le Seigneur Jésus l’avait commandé. Le baptême est un acte d’obéissance. Nous devons être baptisés parce que Dieu nous commande de nous faire baptiser. (Voir Matthieu 3 :13-17 ;
Peut-on se faire baptiser avant d’avoir compris l’Évangile ?
Nous devons d’abord comprendre l’Évangile, puis y croire ; puis, le plus tôt possible, faites-vous baptiser. (Voir Marc 16 :16 ; Actes 8 :12).
La Bible parle- t- elle de bébés baptisés ?
Non, jamais. Les bébés ne sont pas capables de croire ; Par conséquent, ils ne peuvent pas être correctement baptisés. (Voir Actes 8 :12, et notez les mots : « lorsqu’ils crurent », et « les hommes et les
Est-il juste de baptiser en aspergeant ou en versant de l’eau sur quelqu’un ?
Le Seigneur Jésus et ses disciples ont été plongés directement sous l’eau, et nous devrions l’être aussi. (Voir Matthieu 3 :16 ; Actes 8 :38-39).

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Le baptême n’était certainement pas un événement auquel les gens adhéraient au cours des siècles avant JC ou des premiers siècles après JC.

Le baptême des enfants n’est devenu à la mode que quelque temps après la mort des apôtres. C’est à la fin du IIe siècle que le père de l’Église, Tertullien, a soutenu:

„Laissons [les enfants] devenir chrétiens lorsqu’il leur est devenu possible de connaître le Christ.”

De cette façon, ce père de l’Église s’attendait également à ce que les enfants soient dans leur bon esprit pour faire un choix pour Christ.

Au cinquième siècle, les gens ont commencé à croire que l’homme était damné par le « péché originel »’. Selon l’Église catholique, il y avait le péché personnel d’Adam et Ève, qui dans d’autres personnes est devenu un péché naturel, un péché, qui est lié à leur nature humaine et passe de personne à personne. Selon l’Église catholique, tous ceux qui naissent sont accusés du péché originel et d’un état d’inimitié envers Dieu. Tout le monde en est aux prises.
Ainsi, les nourrissons étaient également considérés comme damnés tant qu’ils n’étaient pas baptisés. Le ’ péché originel’ est devenu un aspect aussi établi du catholicisme que la confession. Que l’Église catholique considérait tout non-baptisé comme une damnée personne et insistait donc pour que chaque enfant soit baptisé dès son plus jeune âge afin qu’il puisse ‘entrer au ciel’’. Selon le point de vue catholique, on ne peut être libéré de ce péché originel que par Christ.

Selon l’Église catholique, c’est la grâce commune de Dieu qui prend l’homme, qui peut alors causer le pardon du péché à un enfant qui n’a pas de foi actuelle:

surtout là où il a acquis ce péché au-delà de sa volonté, par la génération, et qu’il tombe aussi sous la rédemption du Christ.

Tout bébé décédé avant d’être baptisé était considéré comme un enfant maudit qui ne pouvait pas être enterré dans un sol pâturé. Les gens étaient souvent forcés de faire baptiser leurs enfants afin qu’ils puissent être sauvés du ’feu d’enfer’. Où ce ‘feu de l’enfer‘ serait le feu d’un endroit où irait l’âme du défunt condamné, à savoir l’enfer, dans lequel les pécheurs brûleraient à jamais.

Le baptême des enfants est passé d’une coutume populaire à un instrument officiel de salut, qui porterait le protestantisme en héritage.

Bien qu’il n’existe pas de données bibliques mentionnant expressément une pratique du baptême des enfants, l’Église trouve néanmoins dans le fait de cette praxis, comme étant de tradition apostolique, la norme et la concrétisation d’une donnée révélatrice, comme l’énonce également l’Écriture de manière plus générale. le sens est formulé. {Encyclopédie du catholicisme sur le baptême des enfants}

Cependant, il est faux de penser que Dieu ferait souffrir éternellement des enfants innocents sous une terrible torture de feu éternel. Les bébés ne peuvent pas encore avoir fait quelque chose de mal, alors pourquoi seraient-ils punis pour les erreurs des autres?

En 1951, le pape Pie XII prononça un discours devant un groupe de sages-femmes confirmant ses convictions

„l’état de grâce au moment de la mort est absolument nécessaire au salut.”

Il était clair pour lui que la grâce ne pouvait venir sur ce nouveau-né que si elle avait été conservée au-dessus des fonts baptismaux. Il est même allé jusqu’à ce qu’aucun prêtre n’ait à accomplir ce rituel de baptême, car il devait avoir lieu le plus rapidement possible après la naissance. Il encourageait les sages-femmes à accomplir elles-mêmes le rite de baptême s’il semblait probable qu’un nouveau-né mourrait.

„Ne manquez pas de fournir ce service miséricordieux”,

il les a exhortés à cœur. Dans le même ordre d’idées, en 1958, le Vatican a averti en termes concis que

„ les nourrissons doivent être baptisés dès que possible.

Néanmoins, la bataille s’est à nouveau déclenchée après le célèbre Concile Vatican II, également connu sous le nom de Vatican II, tenu du 11 octobre 1962 au 8 décembre 1965. L’Église a fait une tentative surprenante pour maîtriser les positions conservatrices et libérales.

’Le baptême est absolument nécessaire au sauvetage’,

le conseil a dit. Mais curieusement, le sauvetage leur était également possible

„qui, sans que ce soit de leur faute, ne connaissent pas l’évangile de Christ”.

Suite à cela, l’Église a ensuite révisé le rite du baptême des enfants. Entre autres choses, les prêtres avaient désormais le choix de refuser le baptême si les parents de l’enfant ne promettaient pas d’élever l’enfant comme catholique. Même si l’un des partenaires n’était pas catholique, il était difficile de baptiser son bébé. Cela signifierait que l’Église catholique a arrêté le sauvetage d’un nouveau-né. Surtout si l’on prend en compte ce que le Vatican a publié concerne la „Instruction pour le baptême des enfants”, qui disait:

„L’Église. . . n’a aucun moyen en dehors du baptême pour assurer aux enfants l’accès au bonheur éternel.”

Les évêques furent commissionnés

„al qui . . . s’est écarté de l’usage traditionnel, pour réduire cet use”.

Plus tard, l’Église catholique a commencé à admettre que les bébés qui meurent sans être baptisés de l’Église ne peuvent les confier qu’à la grâce de Dieu.

Quoi qu’il en soit, il faut savoir que le baptême des enfants n’est pas l’assurance que ce bébé grandira comme un digne chrétien. Baptiser un petit enfant ne l’aide pas à développer sa foi. Même si les parents sont des gens bien-croissants, cela ne veut pas dire que leurs enfants seront très bien-croissants, ni continuer leur chemin sur le bon chemin.

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À notre avis, le baptême des enfants n’est pas du tout conforme à l’enseignement biblique. Dans les Saintes Écritures, nous lisons des articles sur les adultes baptisés. Jésus a également été baptisé par Jean-Baptiste plus tard dans sa vie. Le même Jésus qui a été baptisé dans le Jourdain a demandé à ses disciples de sortir et de continuer à faire des disciples et à les baptiser. (Matthieu 28 :19).

Un bébé ne peut pas choisir Dieu et ne sait rien de Dieu et du commandement. Au fait, il faut encore qu’il apprenne tout. À la naissance, il y a une innocence vierge et aucune conscience de ce que signifie réellement la foi.

Les gens qui disent qu’ils ont déjà été baptisés bébés doivent se rendre compte que le baptême n’a en réalité aucun sens et ne peut être accepté comme un baptême digne. Ils n’ont jamais avoué eux-mêmes avoir choisi le Seul Vrai Dieu. De plus, ils ont été baptisés dans une communauté ecclésiale qui ne vit pas selon les normes et valeurs bibliques et n’adore même pas le Dieu du Christ, ce qui est une exigence minimale.