Raison suffisante pour se faire baptiser et devenir membre de notre communauté

Mai 11, 2024Mai 10, 2024 par Marcus Ampe, publié dans ??? Questions posées, Christadelphe, Comportement ou attitude envers les autres, Dieu suprême, Foi, Jésus-Christ - Fils de Dieu, Pensée pour aujourd'hui, Questions & Réponses

Lorsque nous parlons à plusieurs personnes, nous découvrons combien de personnes se posent de nombreuses questions sur la foi et combien ne sont même pas vraiment bien informées des doctrines ou des enseignements de la communauté ecclésiale dont elles ont été baptisées et dont elles sont membres.

Catholic church, — Photo by Ivan Drau017eiu0107 on Pexels.com

En Grande-Bretagne, il y a quarante ans, il n’était pas surprenant de trouver plusieurs communautés religieuses dans les villages. À cette époque, il y avait une variété d’églises. En Belgique, en revanche, il n’y avait pas beaucoup de diversité et dans les villages, il n’y avait généralement qu’une Église catholique romaine. Aujourd’hui, quand on entend beaucoup de gens et même à la télévision en Flandre parler de ‘l’ Église‘, ils veulent généralement dire l’Église catholique. Beaucoup ne savent même pas qu’il existe encore de nombreuses subdivisions ou confessions dans cette Église catholique.

De nos jours, il y a plus d’églises protestantes en Belgique qu’au siècle dernier. Mais lorsque les gens parlent de l’Église protestante, ils sont plus susceptibles de parler d’un ensemble d’églises protestantes, l’Église protestante belge et les Églises pentecôtistes étant les deux plus importantes, en plus des évangéliques.

Il est frappant de constater que parmi les croyants protestants, il y a beaucoup plus de croyants qui savent quels sont les enseignements de leur communauté. Dans ces groupes, personne ne niera la Trinité s’ils appartiennent à un mouvement protestant trinitaire, contrairement aux catholiques.

Au fil des années, il y a plus de catholiques qui sont plus conscients que Jésus est le fils de Dieu. Cependant, nous rencontrons aussi des catholiques qui disent croire que Jésus n’est pas Dieu mais le fils de Dieu. Ils ne se rendent pas compte que cela va à l’encontre de l’enseignement catholique où il est enseigné que Jésus est dieu le fils, en supposant que Dieu est venu sur terre pour délivrer l’humanité de la malédiction du péché et de la mort.

Il y a aussi beaucoup de gens qui doutent de toute foi et qui sont plus susceptibles de se demander ce qu’elle peut leur apporter. Les gens aiment ce qu’ils font et leur procurent quelque chose. La foi n’est pas différente.
L’Église catholique a toujours été maîtresse pour tout promettre aux gens. Ils allaient si loin que les gens rachètent leurs péchés par des indulgences. Personne ne semblait penser que dans un tel cas, on pouvait soudoyer Dieu et que les riches pouvaient plutôt se voir infliger des punitions temporaires (pénitence) pour leurs péchés, tandis que les pauvres devaient souffrir plus longtemps au purgatoire.

Il est étrange que ces membres des églises traditionnelles n’interrogent plus leur clergé sur ces questions et sur les spécificités de Dieu et de Jésus.

On pourrait donc se demander:

Si Dieu est un Esprit immuable qu’aucun homme ne peut voir, comment pourrait-Il apparaître comme un homme sur la terre et être vu par plusieurs?
Si Jésus était Dieu, pourquoi prétend-il ne pas être un esprit, et quiconque le voit peut-il continuer à vivre pendant que la Bible dit que l’homme qui voit Dieu est en train de mourir?
Si Dieu est un Dieu qui ne ment pas, pourquoi prétend-Il qu’Il sait tout et que Jésus est son fils, qui à son tour dit qu’il ne sait pas les choses, parce qu’il est seulement donné à Dieu de connaître ces choses?

Étrange que ces croyants soient satisfaits aussi vite que leurs chefs spirituels disent qu’ils ne peuvent pas comprendre cela et qu’ils doivent croire ces nombreuses choses comme des dogmes, même s’ils ne les comprennent pas.

L’Église catholique a réussi à effrayer les gens avec beaucoup de choses pendant des siècles, afin qu’ils adhèrent à cette doctrine catholique.

Un voisin que j’avais suggéré de venir dans notre ecclesia d’Anderlecht s’est vu dire par son Église catholique qu’il commettrait alors un péché mortel.

Nous croyons plutôt que ceux qui continuent d’adhérer aux règles de doctrine de l’Église plutôt qu’aux règles bibliques, qu’ils resteront dans le monde du péché et n’auront pas la chance d’entrer dans le Royaume de Dieu.

Si l’on veut pouvoir franchir la porte étroite du Royaume de Dieu, nous pensons qu’on ferait bien de vivre selon les normes et enseignements bibliques. L’Écriture n’est pas aussi difficile à comprendre que le prétendent de nombreuses églises. Si l’on lit attentivement la Bible, on aura suffisamment d’informations pour savoir quel chemin emprunter.

Baptême, doop — Le Baptême de Jésus-Christ par la Bibliothèque du Congrès est autorisé sous CC-CC0 1.0

De cette façon, on peut aussi voir que Dieu est un Esprit Éternel et que Jésus est son fils bien-aimé qui a mis de côté sa propre volonté pour réaliser pleinement la Volonté de Dieu. Les 66 livres qui composent la Bible donnent un aperçu clair de la façon dont les choses se passent. S’il reste encore beaucoup de questions, c’est aux chefs spirituels des églises de donner une réponse honnête et efficace.

Dans la Communauté des Frères en Christ, les croyants sont ouverts à recevoir des étrangers et à les assister par des conseils.

Nous admettons que certaines activités, comme la participation au pain et au vin, ne peuvent être appréciées que par les croyants ayant bénéficié d’un baptême biblique. Si l’on veut vraiment participer à ce repas commémoratif, la communauté est ouverte à vous éduquer dans sa foi et à vous donner l’opportunité de vous faire baptiser par immersion dans l’eau, en signe d’abandon à Dieu et en signe d’adhésion à notre communauté de foi.

Pourquoi les catholiques n’étaient-ils pas autorisés à communier pendant le service baptismal

Mai 9, 2024 par Marcus Ampe, publié dans ??? Questions posées, Christadelphe, Foi, Jésus-Christ - Fils de Dieu, Questions & Réponses

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Partager du pain et du vin uniquement pour les frères et sœurs baptisés

Après le service de baptême, j’ai reçu une question d’une jeune femme triste parce qu’elle et d’autres baptisés n’étaient pas autorisés à partager le pain et le vin.

Par ces autres baptisés, elle entendait les catholiques. J’ai essayé de lui faire comprendre qu’il y avait deux raisons principales.

Baptême infantile

Dans la foi catholique, la plupart sont baptisés bébés. Ce baptême des enfants est généralement administré dans les premiers jours ou semaines de la vie d’un enfant, en supposant que ce versement avec de l’eau, selon le Père de l’Église Augustin, laverait le Péché Originel. On suppose que, selon les enseignements de l’Église catholique romaine, les bébés peuvent être sécurisés de telle manière qu’ils mourraient prématurément qu’ils ne seraient pas condamnés à devoir brûler éternellement en enfer. Le baptême (des enfants) signifie (selon l’enseignement catholique) que l’on reçoit le salut et qu’on est incorporé à l’église.

Dans le passé, l’Église papale allait si loin qu’au moment de la persécution et de l’inquisition, il fallait choisir soit la mort, soit le baptême.

Cependant, lors du baptême des enfants, l’enfant n’a jamais fait le choix de Dieu lui-même, mais les parents ou d’autres ont fait ce choix pour l’enfant.

Cependant, il est important que chacun, lorsqu’il a atteint un âge de conscience, fasse un choix conscient de vouloir être un enfant de Dieu au nom de Jésus et d’aller dans cette direction de foi pour cela.

Baptême adulte

Plus tard dans la vie, une personne peut décider elle-même dans quelle direction elle souhaite aller.

Les premiers chrétiens étaient toujours au sujet d’un acte d’abandon à Dieu, qui ne pouvait être accompli qu’à un âge de raison. Les catholiques et les réformateurs avaient l’idée catastrophique de l’enfer dans la tête et voulaient en sauver l’enfant. Comme base du baptême des enfants, ils soulignent l’alliance et la promesse de Dieu.

Dans notre région, davantage d’anabaptistes et de baptistes ont également émergé à l’époque de la Réforme, prêchant un Dieu Unique et un baptême adulte. Le mouvement baptiste rejetait le baptême des enfants et prônait le baptême après avoir fait une confession de foi. Aux Pays-Bas, cette idée a été adoptée, entre autres, par Menno Simons, un ancien prêtre frison devenu mennonite.

Les baptistes préfèrent appeler leur cérémonie de baptême baptême de foi parce que les jeunes qui ne sont pas encore adultes, mais qui ont déjà un aperçu suffisant de la Vérité biblique, peuvent également être baptisés sur la base de leur foi. Les Frères en Christ ou les Christadelphes supposent également qu’une fois qu’une personne peut faire un choix conscient et prouver qu’elle a suffisamment d’informations sur la Parole et l’Enseignement de Dieu, elle peut s’abandonner à Dieu en se laissant immerger dans l’eau, comme un acte symbolique de purification ou de purification des péchés passés.

Participation à la mémoire de la Cène du Seigneur

Dans la plupart des églises de foi chrétienne, on ne peut communier que si l’on a reconnu et signé la confession de foi de cette communauté.

Dans les Églises orthodoxes orientales et l’Église catholique romaine, la Dernière Cène est commémorée dans l’Eucharistie, dont fait partie la Sainte Communion.

Dans le rite latin de l’Église catholique, seule l’hostie consacrée est décernée à la communion, boire au calice est généralement réservé au prêtre. Lors d’occasions spéciales, les croyants peuvent également communier sous deux formes (l’hôte et le vin du calice). L’idée ici est que l’on ne fasse plus qu’un avec Christ.

Parmi les Christadelphes, il y a aussi un souvenir avec un « repas sacrificiel » dans lequel le pain est cassé et celui-ci est distribué comme symbole du corps de Jésus à tous les croyants qui ont été baptisés selon les conditions bibliques, à savoir des immersions complètes avec un témoignage. de foi en un seul Dieu (Jéhovah) et en Son Sauveur envoyé, Jésus-Christ. Le vin symbolise alors le sang versé du Christ, qui peut être consommé par les croyants baptisés, en signe de pardon des péchés par le sang de Jésus.

Pourquoi une participation limitée seulement

Il peut être étrange pour les chrétiens des communautés religieuses trinitaires qu’ils ne soient pas autorisés à s’asseoir à la table sacrificielle dans les services des Christadelphes.

En effet, le Christ auquel croient les christadelphes est différent de celui auquel croient les chrétiens trinitaires, tels que les catholiques, les anglicans, les réformés, etc. Pour ceux qui croient en la Trinité, Jésus-Christ est Dieu qui est venu sur terre pour nous racheter.

Pour les Christadelphes et autres Vrais Chrétiens, tels que les Yeshuaistes (ou Jeshuaists) et les membres de La foi abrahamique, l’Église de Dieu, les Amis Nazaréens, les Témoins de Jéhovah, on ne peut être participant à la table que si l’on appartient à ceux qui font partie de l’accord approuvé par Dieu, ou ceux qui n’adorent que Jéhovah comme le Seul Vrai Dieu.

Il n’y a pas de juste milieu pour Dieu. Il n’accepte que le vrai culte.

Si vous aimez toujours rejoindre la table

Lors de la cérémonie de baptême, il a été remarqué que plusieurs participants étaient convaincus que Jésus était le fils de Dieu. Mais c’est déjà assez grave, ils étaient convaincus que leur Église catholique pensait de la même manière et ne considérait pas Jésus comme Dieu. Je les ai encouragés à poser des questions à ce sujet à leur pasteur ou à certains prêtres de cette église, afin qu’ils acquièrent une meilleure compréhension des enseignements de l’Église catholique.

S’ils sont vraiment convaincus que Jésus est le fils de Dieu et non un dieu fils, ils seraient heureux d’effacer s’ils sont dans la bonne communauté de foi et s’il ne vaut pas mieux aller dehors et vers Dieu, ne vaudrait-il pas mieux rejoindre une communauté ecclésiale qui adhère aux enseignements bibliques?

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Dans de nombreuses églises, les gens entendent parler du peuple de Dieu. Il y a ceux qui prétendent que ce ne sont plus les juifs mais les chrétiens. Ils entendent par là ces chrétiens qui adorent la Trinité Ces Trinitaires disent alors que la prédication n’est que pour le peuple de Dieu et que seuls les élus sont sauvés.

La question ici est de savoir qui ils considèrent comme des élus. Le fait est que l’on peut convenir que seul « élu » peut acquérir le salut et être heureux de savoir qui sera autorisé à résider dans le Royaume de Dieu.

Même si certains chrétiens le souhaitent, on ne peut exclure le peuple hébreu de son rôle. De toute façon, les Juifs croyants appartiennent au Peuple de Dieu – indéniablement!

Tous les gens sur terre ont la possibilité de connaître Dieu. Ils peuvent voir autour d’eux et trouver les merveilles du Seigneur. Dans les zones plus développées, les gens peuvent également entrer en contact avec la « Parole écrite de Dieu » ». Par exemple, on peut dire que beaucoup de gens peuvent lire la Bible. Ce livre de livres parle d’un sauveur qui viendrait. On dit également que ce leader de confiance est le Christ et le pain de vie. Ce pain vivifiant est à la disposition de tous. Il a été donné au monde entier.

La question est de savoir qui en a faim. Est-ce que ceux qui nous entourent ont faim? Avez-vous faim de ce qui semble si insaisissable à beaucoup?

Cependant, l’envoyé de Dieu n’est pas aussi insaisissable ou incompréhensible que beaucoup le pensent. Dieu est compréhensif et connaît les besoins de l’homme. Il veut s’y lancer, mais il veut que les gens le recherchent.

Dieu veut vous satisfaire. Il a fait payer la rançon à son fils pour vous et moi, même pour toute l’humanité. Le Christ Jésus n’était pas réfléchi, mais il s’est humilié et lui a envoyé des pécheurs. Il a reçu et mangé avec eux.

Jésus-Christ peut être considéré comme le seul miroir de l’élection et le seul fondement du salut. Notre préoccupation et notre besoin ne nous sauvent pas, mais seulement la foi en lui. Jésus est l’élu de Dieu qui a été autorisé à agir en tant que dirigeant de la foi le guide et l’acheveur.

La vraie foi est un don de grâce de Dieu. Dans ce monde, nombreux sont ceux qui se disent chrétiens et prétendent qu’en tant que croyants, ils appartiennent à ce Peuple de Dieu. Mais quand nous leur parlons et entendons dire qu’ils n’adorent pas le Dieu du Christ, mais une divinité qu’ils appellent la « Sainte Trinité », nous nous rendons compte qu’ils se sont éloignés loin de la vérité et qu’ils ont encore un long chemin à parcourir pour être comptés auprès de ce Peuple de Dieu.

En tant que communauté de croyants, ou ecclesia, nous ne pouvons agir que comme serviteurs et inviter chacun à devenir un participant au pèlerinage à la porte étroite du Royaume de Dieu. En ouvrant nos portes à tous ceux qui veulent entendre, nous pourrons aider les gens à entendre et permettre à l’Esprit de les pénétrer. Car c’est l’Esprit de Dieu qui détermine tout. C’est Lui qui appelle les gens à Lui-même et leur donne un aperçu. En tant que serviteurs de Dieu, nous ne pouvons nous positionner que de telle manière que nous donnons aux gens une direction pour apprendre à connaître à la fois Jésus-Christ et son Père céleste.

Nous devons être prêts pour ceux qui ont faim et soif. En tant que frères et sœurs, nous devons accueillir des étrangers et les rendre aussi agréables que possible sans aller à l’encontre de la Volonté de Dieu. La fraternité avec le Christ doit toujours primer et cette famille, étant enfant de Dieu, doit persuader les gens de vouloir aussi devenir enfants de Dieu.

Ce n’est que lorsque les conditions décrites dans la Bible seront remplies que l’on pourra devenir enfant de Dieu et faire partie du Peuple béni de Dieu.

Questions à poser lors d’un baptême

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Baptême, doop, onderdompeling, l'immersion totale dans l'eau — Photo by Jose Vasquez on Pexels.com

Questions à poser lors d’un baptême

Première et principale question : Pourquoi voulez-vous vous faire baptiser ? (Les réponses acceptables impliquent l’amour d’une personne pour Dieu, ainsi qu’un désir personnel et un engagement à le servir. Réponses inacceptables : « Je suis assez vieux maintenant. » « Cela rendrait mes parents (ou mon mari, ou ma femme, ou mes enfants) heureux. » « Mes amis sont en train de se faire baptiser. »)

Qu’est-ce que la Bible ? Un recueil d’écrits écrits par des hommes inspirés par Dieu, pour écrire l’histoire des relations de Dieu avec l’homme, et pour écrire sur l’offre de Dieu de la vie éternelle.2. Y a-t-il une autre source directe de connaissance de la vie éternelle ? Non.
3. Quelle était la condition de la création originelle, y compris celle d’Adam, lorsqu’il a été créé pour la première fois ? Parfait, ou « très bon ». Il n’y avait ni péché ni mort dans le monde.

4. Qu’est- ce qui a fait qu’Adam a perdu cette affection ? C’est-à-dire, qu’est-ce qui a amené la malédiction de Dieu sur l’homme et son monde ? Adam a désobéi à Dieu !

5. La transgression d’Adam nous affecte- t- elle ? Si oui, comment ? Oui, la conséquence de la désobéissance d’Adam est sur toute l’humanité, dans notre nature mortelle et pécheresse héritée de lui.

6. Dieu a-t-il pris des dispositions pour que nous soyons rachetés de cette malédiction ? Oui, par notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ.

7. Quelle est la principale promesse que Dieu a faite à Abram ? Que lui et sa « postérité » recevraient la terre de Palestine pour une possession éternelle.

8. Cette promesse a-t-elle été faite à quelqu’un d’autre ? Oui, à ses descendants Isaac et Jacob.

9. L’un d’entre eux a- t- il reçu cette promesse ? Non, ils sont tous morts dans la foi, ne recevant pas encore la promesse.

10. Qui est la « postérité » dont il est question dans ces promesses ? Jésus-Christ, le descendant d’Abraham.

11. Comment pouvons- nous hériter de ces promesses ? En étant baptisés en Christ, nous devenons spirituellement les enfants d’Abraham et héritiers avec Christ de la même promesse.

12. Qu’est-ce que l’Évangile ? La « bonne nouvelle » du royaume de Dieu et le nom (ou le dessein) de Jésus-Christ.

13. Dieu a-t-il déjà eu un royaume sur la terre ? Oui, le royaume d’Israël. Il a été gouverné d’abord par les juges, puis par les rois pendant environ 400 ans.

14. Qu’est- il arrivé à ce royaume ? Il a d’abord été divisé, puis renversé, et le peuple d’Israël s’est dispersé parmi les autres nations, à cause de sa rébellion contre Dieu.

15. Quelle est la promesse que Dieu a faite à David, roi d’Israël ? Que son royaume serait restauré et que sa « postérité » régnerait sur lui pour toujours, assise sur son trône à Jérusalem.

16. Qui est la « postérité » dont il est question dans cette promesse ? Jésus-Christ, le descendant de David.

17. Quelle est la nature de l’homme ? Mortel. Physiquement, il n’a aucune supériorité sur les animaux. Quand son souffle le quitte, il meurt et cesse de posséder tous ses sens.

18. Qu’est- ce que « l’âme » ? Le corps, la personne elle-même. L’être tout entier.

19. Qu’est- ce que « l’esprit » ? Le souffle de vie à l’intérieur de l’homme. Aussi, son esprit ou son tempérament.

20. La Bible enseigne- t- elle que les hommes ou leurs « âmes » vont au ciel à la mort ? Non.

21. L’homme ou son « âme » ont- ils une existence consciente dans la mort ? Non.

22. Combien y a-t-il de dieux ? Un seul Dieu, le Créateur de toutes choses.

23. Qui est Jésus-Christ ? Le Fils unique de Dieu, né de la vierge Marie.

24. Jésus est-il aussi un homme ? Oui. Il est né avec la même nature mortelle et pécheresse que nous possédons tous. Même maintenant, bien qu’il soit immortel, il est toujours un homme.

25. Dieu et son Fils sont- ils la même personne, ou des personnes distinctes d’une « trinité » ? Non, il n’y a qu’un seul Dieu !

26. Jésus a- t- il eu une existence préhumaine ? Non, sauf dans l’esprit et le dessein de Dieu.

27. Dieu et son Fils sont- ils égaux en puissance ? Non. Dieu est suprême. Tout pouvoir et toute autorité que Christ a maintenant lui ont été donnés par son Père.

28. Qu’est-ce que l’Esprit de Dieu ? La puissance de Dieu, par laquelle Il accomplit Sa volonté.

29. Le Saint-Esprit est- il un « Dieu » séparé et égal ? Non, c’est simplement une extension du Dieu unique.

30. Qu’est- ce que le « diable » ?
La personnification du mal ou du péché, qui fait partie de la nature humaine mortelle.

31. Pendant qu’il était mortel, Jésus pouvait- il pécher ? Oui. Sinon, sa tentation et sa victoire sur le péché, ou le « diable », auraient été irréelles et inutiles.

32. Pourquoi était- il nécessaire, dans le plan de Dieu, que le Sauveur soit un homme ? Afin que, par une obéissance parfaite, il puisse vaincre le « diable » dans sa propre chair.

33. Pourquoi fallait- il que Jésus meure ? Comme un sacrifice parfait, pour détruire parfaitement et absolument ce « diable », ou la puissance du péché en lui-même. Et comme représentant des autres, qui, par la foi en lui, pourraient être pardonnés de leurs péchés et ainsi remporter leurs propres victoires sur le péché.

34. Pourquoi Dieu a-t-il ressuscité le Christ d’entre les morts et lui a- t- il donné la vie éternelle ? Parce qu’il était parfaitement obéissant, même jusqu’à la mort de la croix, et donc la tombe ne pouvait pas le retenir dans la mort.

35. Après sa résurrection, Jésus est monté au ciel. Quel est son rôle aujourd’hui ? Il agit en tant que souverain sacrificateur et médiateur pour ceux qui, par la foi, s’approchent de Dieu dans la prière.

36. Pouvons-nous prier Dieu par l’intermédiaire de quelqu’un d’autre que Jésus-Christ ? Non. Il est le seul médiateur entre Dieu et l’homme.

31. Jésus est-il mort parce que Dieu était en colère contre l’humanité ? Non, il est mort parce que Dieu a tant aimé le monde qu’il a voulu que son Fils bien-aimé meure, afin que les pécheurs puissent croire, se repentir et être sauvés.

38. Qui ou quoi est « satan » Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu pour adversaire. Dans le Nouveau Testament, le grec Satanas est la même chose que « le diable », une parabole sur le péché.
Que sont les « esprits impurs » et les « démons » ? Une façon du Nouveau Testament de décrire les maladies et les troubles mentaux.40. Qu’est-ce que « l’enfer » ? Quelle est la différence entre Hadès et la géhenne ? L’enfer en français est la traduction de deux mots grecs différents : – Hadès est la fosse ou la tombe ; bref, l’état des morts qui dorment.- La Géhenne est une vallée de Jérusalem qui est utilisée dans une prophétie de Jérémie.
41. Les méchants sont-ils torturés pour toujours ? Non, ils meurent tout simplement sans espoir. C’est un « châtiment éternel » parce que c’est la mort éternelle.

42. Qu’est-ce qui est requis avant le baptême ? La connaissance et la croyance de l’Évangile. Cette croyance devrait également conduire à un repentir sincère des péchés passés.

43. Brièvement, qu’est-ce que l’Évangile ? L’Évangile est la « bonne nouvelle » concernant le royaume de Dieu et le nom de Jésus-Christ. C’est le message que Dieu remplira la terre de Sa gloire dans un groupe de personnes immortelles qui l’aimeront et lui obéiront. Jésus établira le royaume de Dieu sur la terre et régnera en tant que roi avec ses saints pendant mille ans.

44. Qu’est-ce que le baptême ? Immersion ou recouvrement complet par l’eau.

45. Pourquoi devons- nous être baptisés de cette manière ? Parce qu’il symbolise la mort, l’ensevelissement et la résurrection du Christ.

46. Pourquoi devons- nous nous faire baptiser ? C’est le seul moyen par lequel nos péchés peuvent être lavés et nous pouvons revêtir le nom de Jésus-Christ.

47. Pourquoi devons- nous porter le nom de Jésus-Christ ? Afin que nous devenions héritiers avec lui de la promesse de Dieu et que nous participions à sa justice par la foi.

48. Est-ce que tous les gens qui ont jamais vécu vont ressusciter d’entre les morts ? Non, seulement ceux qui sont responsables devant Dieu par la connaissance.

49. Qu’adviendra-t-il de ceux qui vivront et mourront sans connaître l’Évangile ? Ils périront. Ils ne ressusciteront pas.

50 . Quand la résurrection aura-t-elle lieu ? Au retour du Christ sur la terre.

51. Que fera Jésus d’autre à son retour ? Il rassemblera les responsables vivants, ainsi que ceux qui sont ressuscités d’entre les morts. Il jugera tous les responsables, punissant les infidèles par la mort éternelle et récompensant les fidèles par la vie éternelle.

52. Que se passe- t- il une fois que les justes sont devenus immortels ? Christ et ses saints établiront leur domination sur le monde, par la force divine si nécessaire, et établiront le royaume de Dieu.

53. Qui sera le roi de ce royaume ? Mon Dieu.

54. Qui régnera avec lui ? Les saints immortalisés.

55. Qui seront les sujets de ce royaume ? Le peuple mortel qui reste après les temps de détresse.

56. Le retour des Juifs en Israël a-t-il une part dans le plan de Dieu ?

Oui, ils subiront des épreuves, certains se repentiront et seront préparés à la venue de Jésus, leur Messie, afin d’être le « premier empire » de son royaume.

57. Combien de temps le Christ régnera-t-il ?
Environ mille ans.

58. Que se passe-t-il après les mille ans ? Tout péché et toute mort seront enfin enlevés, et la terre sera vraiment remplie de la gloire de Dieu.

59. Alors qu’il n’y a que des immortels sur la terre, pourquoi cela arrivera-t-il ensuite ? Christ remettra le royaume entre les mains du Père.

60. Qui sont les anges ? Les messagers de Dieu. Parfois, la Bible utilise le mot pour désigner de simples mortels, mais le plus souvent, les anges étaient et sont des êtres immortels du ciel.

61. Les anges peuvent-ils se marier ou se rebeller ? Non. Jésus dit que les anges ne se marient pas.

62. Pouvons-nous être sauvés uniquement par de bonnes œuvres ? Non, nous sommes sauvés par la grâce de Dieu par la foi.

63. Pouvons-nous être sauvés en dehors du sacrifice du Christ ? Non, c’est la seule façon pour nous de pardonner nos péchés.

64. Les croyants doivent-ils voter ou participer à la politique ? Non. Leur royaume n’est pas de ce monde. Ils croient que Dieu règne dans le royaume des hommes, qu’il établit et qu’il enlève qui il veut ; c’est pourquoi ils ne doivent pas se mettre dans la position de s’opposer à la volonté de leur Père qui est dans les cieux.

65. Les croyants doivent-ils porter les armes ou servir dans l’armée ou la police ? Non. Ils devraient être des étrangers et des pèlerins dans ce monde mauvais actuel, ne pas résister à l’autorité des gouvernements, mais aussi ne pas participer à l’exercice de cette autorité.

66. Les croyants doivent- ils se venger de leur injustice en intentant des poursuites judiciaires ou par d’autres moyens ?
Non. Ils doivent « tendre l’autre joue », rendre le bien pour le mal, pardonner à ceux qui leur ont fait du tort et même aimer leurs ennemis.

67. Quel est notre devoir envers Dieu et son Fils ? Aimer, louer et glorifier Dieu par son Fils, en toutes choses et en tout temps. Garder les commandements du Christ au mieux de nos capacités, par gratitude pour ce que Dieu a fait pour nous.

68. Quel est notre devoir envers le monde ? Aimer notre prochain comme nous-mêmes, en actes comme en paroles. Si possible, pour leur enseigner la Vérité de Dieu.

69. Quelqu’un possède-t-il les dons du Saint-Esprit aujourd’hui ? Non. Ces dons ont cessé après l’époque des apôtres.

70. Avec qui un croyant devrait-il se marier ? Seulement un autre croyant. Il nous est ordonné de ne pas être sous un joug inégal avec un incroyant.

71. Un croyant devrait-il jamais chercher à divorcer ? Non. Ce que Dieu a uni, l’homme ne devrait pas le diviser.

72. Quelle ordonnance spéciale le Christ a- t- il instituée ? La Cène du Seigneur, ou la fraction du pain. On l’appelle aussi parfois communion.

73. Qu’est-ce que la Cène du Seigneur ? La fraction du pain et le vin en souvenir du Christ.

74. Qu’est- ce que cela signifie ? Le pain représente le corps du Christ ; le vin, son sang versé ; Ensemble, ils annoncent sa mort en notre faveur, jusqu’à ce qu’il vienne.

75. À quelle fréquence devrions- nous prendre part à la Cène du Seigneur ? Tous les dimanches, si possible.

76. Quelqu’un peut-il prendre part à la Cène du Seigneur ?
Non, seulement des croyants baptisés dans le véritable évangile.

77. Pourquoi insistons-nous pour rompre le pain ou communier uniquement avec les membres ? Christ n’a demandé à personne d’autre qu’aux vrais croyants de se souvenir de lui. De cette façon, les fausses doctrines ne peuvent pas diluer ou détruire le véritable évangile auquel nous croyons. De plus, en ne rompant pas le pain avec d’autres personnes qui ne croient pas comme nous, nous leur montrons à quel point notre espérance est importante pour nous et nous les encourageons à apprendre les mêmes vérités.

78. Avez-vous pleinement considéré tous les inconvénients actuels (d’un point de vue naturel) que la Vérité vous apportera ? Oui, et je suis prêt à les accepter.

79. Réalisez-vous que la Vérité n’est pas seulement une « religion », mais un mode de vie entièrement différent ?
Oui, et je suis prêt à le vivre.

Baptême d’enfant ou baptême d’adulte #3 Baptême adulte

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À l’époque de Jésus, les adultes étaient immergés en signe d’abandon au Seul Vrai Dieu, le Souverain Seigneur Jéhovah. Pour les Hébreux, le baptême était aussi un rappel du Peuple d’Israël, qui devait passer dans l’eau après l’esclavage pour connaître une liberté réelle. Ils avaient toujours vécu comme esclaves et ne savaient pas mieux, mais à cause de la mer fendue, ils marchèrent vers leur libération. Les descendants voulaient aussi se souvenir de cette libération. Il ne s’agit plus d’être esclave du monde, mais d’être libéré par la Grâce de Dieu.

Jésus a également été baptisé à l’âge adulte avant de commencer ses tournées de prédication. On pourrait dire qu’il n’y avait aucune raison pour que Jésus soit baptisé. C’était un Juif très pieux qui n’avait commis aucun péché et s’était complètement rendu à son Père. Pourtant, il pensait qu’il était passable d’être baptisé.
Lui-même a également demandé à ses disciples de prêcher et de baptiser les gens au Nom du Père, du fils et du Saint-Esprit, leur apprenant à observer tout ce que Jésus leur avait commandé. (Matthieu 28 : 19-20 ; Marc 16 : 15) Ces baptêmes étaient là pour le pardon des péchés et pour recevoir le don gratuit de l’Esprit (Actes 2 : 38) et étaient aussi le signe pour les autres qu’ils voulaient abandonner en tant que croyant (Actes 8 : 12-13)

Aujourd’hui, pour nous, le baptême est aussi une confession pour toute la communauté que l’on s’abandonne à Dieu et que l’on veut passer sous Christ, et que l’on veut maintenant traverser la vie de frère ou de sœur en Christ.

Il est si facile pour les jeunes de prendre quelque chose avec beaucoup d’enthousiasme et ensuite, avec le même feu, de s’attaquer à autre chose. On remarque aussi que dans certaines églises trinitaires plusieurs jeunes sont baptisés, mais qu’au bout de quelques années ils ont complètement perdu la voie de Dieu. D’autres montrent qu’ils n’avaient pas bien compris la personne de Dieu et s’étaient soumis ou non à une Trinité à moins, cependant, que très peu étaient convaincus qu’ils s’étaient consacrés à un Dieu simple. Cette dernière catégorie est spéciale et louable. Mais ils devront finalement admettre que leur baptême a eu lieu pour les membres d’une église trinitaire et ne peut donc pas être considéré comme un abandon à une communauté de véritables adorateurs du Seul Vrai Dieu.

Il est peut-être sûr qu’à l’adolescence, l’adolescent ait été convaincu, grâce aux connaissances déjà acquises, qu’il avait raison. Ils pourraient même dire « Oui » aux questions posées à l’époque.
Ces adolescents à ce stade pourraient-ils vraiment réaliser ce que signifie réellement le baptême et ce que signifie franchir le pas de la mission en tant que vœu perpétuel ’à Dieu’ de toujours faire sa volonté, impliquant toute leur vie?

Je crois que quand on a passé 12 ans, on peut effectivement faire un choix sérieux pour Dieu. Le baptême des adolescents est donc une union valable entre le candidat au baptême et Dieu. Si ce baptême a eu lieu dans une église non trinitaire, comme dans l’Église de Dieu, l’Église abrahamique de Dieu, Church of the Blessed Hope (ou Church of God of the Abrahamic Faith), les baptistes non trinitaires ou les Témoins de Jéhovah, c’est un baptême acceptable pour nous.

Cependant, s’il s’agissait d’une affaire de baptême dans une église trinitaire, comme l’église pentecôtiste, il faut insister pour que les gens rebaptisent mieux et donnent un signe d’humilité envers la communauté religieuse en étant complètement immergés dans la présence de frères et sœurs non trinitaires.